Les séances manucure ne sont pas inoffensives, révèle une étude publiée par la ordre Nature Communications et relayée par Midi Libre. Sézigue confirme les doutes de différents scientifiques au cobaye des lampes UV destinées à procéder pomper le galipot à ongles à gel ou semi-permanent. En action, si de nombreuses femmes ont pardonné l’coutume de se rétrocéder hétérogènes jour par an parmi un possibilité de beauté, cette menée pourrait à eux mériter dispendieux sur le colossal borne.
Une consortium de chercheurs issus des universités de San Diego et de Pittsburgh (Californie, Listes-Unis) a accompli une rubrique d’expériences impliquant les lampes à UV utilisées parmi les salons de manucure. Ils avaient été interpellés par les cas de hétérogènes femmes atteintes par un cancer de la manteau au diapason des mains. Parmi le enveloppe de à eux recherche, les scientifiques ont argumentation des cellules humaines et animales au propagation UV chez une vingtaine de minutes.
Principalement vaut pomper ses ongles à l’air timbré
Les résultats sont principalement qu’inquiétants : 48 heures derrière l’vitrine, les chercheurs ont notoire que 20 à 30 % des cellules avaient été détruites. Ce code réalisé même à 65-70 % cependant la séance d’UV est renouvelée triade jour d’affilée. Même si la nombre des instituts de perfection ne font pomper les ongles de à eux cliente que chez huit minutes, les conséquences peuvent bel et caractéristique appartenir néfastes si l’vitrine au propagation UV est entrevue.
Pardon se avertir pour les risques de enflure des mains ? La encyclique est faible : en exécutant pomper son galipot à ongles à l’air timbré. Ou bien, les dermatologues recommandent de contingenter la intervalle et la époque d’vitrine à ces lampes controversées, néanmoins ainsi d’châtier de la bombe solaire à volumineux chimère sur vos mains devant la manucure. Il existe quand des gants spéciaux ne dévoilant que les ongles.